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Photo du rédacteurAphaïa Belle Terre

Nous sommes le reflet de la Terre

Aphaïa Belle Terre est née le 2 février 2022. A sa création, association à but non lucratif, basée à Etain, en Lorraine, elle devient ONG par la création du Bureau exécutif local de Fès au Maroc en octobre 2023 et du Bureau exécutif local à Bèmbèrèkè eu Bénin en mars 2024. 


Dès mars 2022, elle a apporté son soutien aux réfugiés ukrainiens et équipé le Convoi « Etain soutient l’Ukraine » parti chercher des femmes et enfants en Pologne, comme Luola, Artem, Kristina et Elena, que l’association a équipé en vêtements et équipements à leur arrivée dans les familles d’accueil.





En 2023, un orphelinat kenyan du ghetto de Githurai 44, dans la banlieue de Nairobi a profité de l’établissement d’électricité photovoltaïque, d’eau potable et de biogaz par le projet Philia 4 Kenya porté par Simon Derruau, resté surplace près de quatre mois. Les orphelins âgés de quelques mois à 18 ans, comme Cecilia, Angel, Claris, Faith … ont pu profiter de ces avancées.




 

Puis, en septembre, elle a associé les élèves du Lycée Jean Morette de Landres (54) dans la collecte, la préparation et l’expédition de 537 kgs de fret humanitaire post-urgence aux victimes du séisme marocain. Amane, s’est assurée de l’arrivée des distributions par le Croissant Rouge Marocain de Kenitra. Au travers de la convention avec le lycée, nous avons sensibilisé 845 jeunes à l’humanitaire et à l’environnemental.





En 2024, elle créé 5 fermes agro-sylvo pastorales artisanales de chacune un hectare, où sont replantés 260 arbres, débute un élevage d’ovins et un élevage de volaiiles à Baoura II, au nord de Bembèrèkè, au Bénin. Elle travaille à un projet commun de développement de la forêt sacrée de Wêwêrê et cherche des solutions pour donner accès à l’eau potable aux 131 000 habitants de Kossou/B. Abdoul-Azize y travaille sur place. Sariki, Karim, Abdoul-Azize, Djibrila, Sabiou sont les nouveaux agriculteurs qui n’avaient aucun revenu et aucun moyen de subsistance avant. Sikirou et Malick, eux, ont préféré se lancer dans les deux élevages. Soulemane, lui, attend que nous agissions sur la forêt sacrée de Wêwêrê.

En France, cela fait trois ans que nous cherchons à établir un projet. Nous souhaitons travailler au développement solidaire de banques de vêtements, de nourriture, de recyclerie, de cultures alimentaires pour les publics en difficulté de plus en plus nombreux avec la possibilité de créer des emplois. Ce projet a été présenté à un syndicat interdépartemental scolaire de 26 communes entre la Meuse et la Meurthe-et-Moselle, puis dans la commune du siège de l’association. Nous avons essuyé des refus. Actuellement, nous le présentons sur un secteur rural du nord de la Meuse qui soutiendrait l’action de la Maison des solidarités du secteur, mais la démarche semble s’embourber dans des lenteurs de décisions. Nous recherchons en permanence des partenaires, car sur le secteur que nous visons en France car son taux de pauvreté est de 14,4 % à 15,6 % de la population, au-dessus du niveau national à 14,5 %.

8.1% des propriétaires et 31.7% des locataires en Meuse ont atteint le seuil de pauvreté. Il touche toutes les tranches d’âge avec le maximum d’un quart des moins de 30 ans en déclinant progressivement pour toucher encore 12.1% des plus de 75 ans.

Sont demandeurs d’emploi :

Dans le nord meusien, 854 jeunes de moins de 25 ans, dont 11.6 % sans diplôme,

Sur le bassin de Briey, 699 jeunes de moins de 25 ans, dont 9.7% sans diplôme,

Sur le bassin de Longwy, 638 jeunes de moins de 25 ans, dont 14.1 % sans diplôme,

A ces 2 191 jeunes, s’ajoutent plus de 5 000 demandeurs d’emploi de plus de 50 ans, peu ou pas diplômés.    

Les Réseaux sociaux ne font pas tout. Nous sommes présents sur Facebook avec 630 followers, 125 sur Instagram, 22 sur X, 112 sur LinkedIn et 357 sur Tik Tok. Nous cherchons donc, à travers vous, des partenaires qui puissent augmenter notre visibilité.


Notre site www.aphaiabelleterre.org  a été visité 536 fois sur l’année passée, d’un peu partout. Nous rédigeons des articles, les partageons, les adressons par mail, nous y proposons à la vente des articles éco-responsables …

En 2022, le point le plus important qui est mis en avant dans le fonctionnement de l’association est l’honnêteté et la transparence. Nos frais de fonctionnement à l’année avoisinent les mille euros. Les plus gros postes sont le logiciel de comptabilité obligatoire, le site et le nom de domaine. Ils sont financés à 50% par deux donateurs principaux qui savent participer au fonctionnement. Le reste est financé par notre premier évènement organisé en 2022. Chape participation reçue est utilisée dans l’action choisie par le donateur lui-même. Par exemple, les élevages sont intégralement financés par le Kaya Bar de Mercy-le-bas car sa gérante, Cynthia le souhaite. Ceux qui ont financé les arbres comme Sabine, Sébastien, Lilou, Céline, Angélique, OMOIKANE, notre entreprise partenaire … ont tous reçu leur certificat de parrainage et recevront les photos des arbres plantés après les récoltes des fermes au Bénin.

Mais nous avons besoin que l’on parle de nous !

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